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Trouver un(e) conseiller(-ère) en éthique

La Loi confie à la Commission municipale la responsabilité de déterminer les critères de compétence et d’expérience pour qu’une avocate ou un avocat ou qu'une ou un notaire soit inscrit sur la liste des conseillers et conseillères à l’éthique et à la déontologie en matière municipale.

En vertu du projet de loi 49, tout membre d’un conseil d’une municipalité peut obtenir désormais, aux frais de cette dernière, un avis d’un conseiller ou conseillère à l’éthique et à la déontologie, dans la mesure où certains critères sont respectés : 

  • l’avis est demandé, à titre préventif, pour aider le ou la membre du conseil à respecter les règles prévues au code d’éthique et de déontologie qui lui est applicable;
  • le conseiller ou la conseillère qui produit l’avis est inscrit sur la liste; 
  • les honoraires facturés par le conseiller ou la conseillère pour la production de l’avis sont raisonnables.

Le conseiller ou la conseillière à l’éthique et à la déontologie doit fournir à la municipalité une attestation écrite indiquant le nom du ou de la membre du conseil qui a sollicité l’avis et attestant que les conditions prévues sont remplies afin que ses honoraires soient payés par la municipalité. 

Vous souhaitez devenir conseiller ou conseillère en éthique? Consultez les critères fixés par La Commission, puis faites votre demande ligne en remplissant le formulaire accessible en cliquant ici. 

Vous pouvez trouver, grâce au moteur de recherche avancé plus bas, un conseiller ou une conseillière en éthique en inscrivant son nom, le nom de la municipalité ou en sélectionnant la région administrative appropriée.

Consulter la liste de tous les conseillers et conseillères en éthique

Trouver un conseiller en éthique
Chaudière-Appalaches
Laflamme, Charles
Cliche Laflamme Loubier inc.
109, rue Verreault
Saint-Joseph-de-Beauce (QC) G0S 2V0
Tél. : 418-397-5264
Télec. : 418-397-5269
Paré, Frédéric
Cliche Laflamme Loubier inc.
109, rue Verreault
Saint-Joseph-de-Beauce (QC) G0S 2V0
Tél. : 418-397-5264
Télec. : 418-397-5269
Richard, Yannick
Cain Lamarre, s.e.n.c.r.l.
11535, 1re Avenue, bureau 350
Saint-Georges (QC) G5Y 7H5
Tél. : 418-228-2074
Télec. : 418-228-6016

Le conseiller en éthique : un allié incontournable 

Quel maire ou conseiller municipal ne s’est pas retrouvé un jour confronté à devoir faire un choix entre le geste qu’il s’apprête à poser et le respect de ses obligations déontologiques?

La Loi sur l’éthique et la déontologie en matière municipale n’impose pas que des obligations aux élus municipaux. Elle favorise également la formation et la diffusion des bonnes pratiques déontologiques en plus d’offrir aux élus l’occasion de recourir à un professionnel indépendant qui pourra leur prodiguer des conseils judicieux et ainsi, permettre d’éviter les écueils déontologiques.

Peu connu, le conseiller en éthique et à la déontologie est pourtant un allié important. Il peut donner des avis et faire des recommandations aux élus municipaux qui ont des questionnements éthiques ou déontologiques.

Le Québec compte plus de 8 000 élus municipaux, maires et conseillers, qui peuvent avoir besoin, un jour ou l’autre, d’un conseil avisé et indépendant. Leurs fonctions, souvent assumées à temps partiel, combinées à des situations complexes auxquelles ils sont confrontés, les exposent continuellement à des « risques éthiques ».

Le recours à un conseiller en éthique offre à tout élu la possibilité de recevoir des conseils appropriés, en toute confidentialité, avant de prendre une décision ou de commettre un acte qui peut avoir des conséquences déontologiques graves et des répercussions importantes sur sa carrière politique.

Les enquêtes effectuées par la Commission municipale illustrent à quel point l’opinion d’un conseiller à l’éthique aurait pu changer les choses et éviter, dans certains cas, une enquête et même une sanction.

À titre d’exemple, rappelons le cas d’un conseiller qui vote pour l’embauche de son épouse, dont la candidature est recommandée par un comité de sélection; ou encore, celle d’un conseiller qui exerce son droit de vote, à la suggestion du directeur général, relativement à un projet de développement immobilier dans lequel son père et ses oncles ont des intérêts.

Dans le doute, il est essentiel de prendre du recul et d’agir avec prudence en demandant conseil pour bien cerner et comprendre les conséquences éthiques et déontologiques de ses gestes et décisions.

Le conseiller en éthique, fort d’une expérience dans ce domaine, fait bénéficier les élus de réflexions étoffées, leur permettant d’examiner les situations non seulement en vertu de la Loi et des règlements, mais également en fonction des règles et des valeurs énoncées au code d’éthique des élus d’une municipalité.

Tout élu municipal ne devrait jamais hésiter à faire appel à l’expertise d’un conseiller à l’éthique. Il en va de son intégrité, de sa réputation et de l’intérêt public. En effet, une enquête déontologique implique très souvent des déboursés importants pour la municipalité qui doit assumer les coûts reliés à la défense d’un élu visé par une demande d’enquête. Dans beaucoup de cas, le simple avis d’un conseiller en éthique empêche un faux pas, évitant ainsi des conséquences humaines et financières importantes.

À la suite des modifications apportées à l'immeuble, par exemple, une construction, un agrandissement ou un changement de propriétaire, la municipalité expédie un avis de modification du rôle au propriétaire ou à l'occupant inscrit au rôle d'évaluation. La municipalité informe ainsi le propriétaire ou l'occupant des changements qu'elle a apportés au rôle. On pourra notamment lire sur l'avis le nom du nouveau propriétaire ou la nouvelle valeur de l'immeuble à la suite d'une construction.

Le ministre de la Justice tient le Registre des commissaires à l’assermentation, dans lequel figure le nom des personnes qu’il a désignées pour faire prêter serment. Vous pouvez consulter le registre des commissaires à l'assermentation à l'adresse suivante : assermentation.justice.gouv.qc.ca

Services Québec offre le service d’assermentation dans plusieurs de ses bureaux. Pour plus d’information, vous pouvez consulter le site gouv.qc.ca/portail/quebec/servicesquebec

Il est obligatoire de vous faire assermenter, sinon votre demande sera incomplète.

La seule personne qui peut demander l’exemption des taxes municipales est celle qui paie les taxes directement à la municipalité.

Le compte de taxes de la municipalité doit être au nom de votre organisme. Si le compte de taxes est au nom d’une autre personne, vous ne pouvez pas demander d’exemption de taxes.

Activité ponctuelle qui permet de prévenir, d’identifier et parfois de corriger les situations de dépassement ou de mauvaise utilisation des ressources financières. Ce contrôle est appliqué principalement au moment de l’autorisation de la dépense et au moment de l’autorisation du paiement.

Crédits déterminés en soustrayant de l’ensemble des crédits votés les dépenses payées et à payer de même que les dépenses engagées.

Est la date de délivrance de vos lettres patentes ou de votre acte constitutif. Cette information se trouve généralement sur la page titre ou la dernière page de vos premières lettres patentes ou de votre premier acte constitutif. 

Procédure judiciaire utilisée par la Direction du contentieux et des enquêtes de la Commission, le Procureur général du Québec, la municipalité ou un citoyen pour saisir un juge de la Cour supérieure d’une demande visant à faire déclarer un élu municipal incapable provisoirement d’exercer toute fonction liée à sa charge.

Le formulaire doit être signé par un dirigeant de l'organisme.

Seul un dirigeant de l’organisme peut faire la déclaration sous serment prévue au formulaire.

On entend par dirigeant, un membre du conseil d'administration ou une personne occupant une fonction telle que : président, vice-président, secrétaire, trésorier, directeur ou directeur général.

L'immeuble est composé du terrain et des bâtiments qui s'y trouvent. Les personnes habilitées à faire prêter serment sont :
•    Les commissaires à l'assermentation
•    Les greffiers d'une cour de justice et leur adjoint
•    Les avocats et les notaires
•    Les maires, les greffiers ou les secrétaires-trésoriers de toutes les municipalités, mais uniquement dans les limites de leur municipalité
•    Le secrétaire général, les secrétaires généraux adjoints et les secrétaires adjoints de l'Assemblée nationale
•    Les juges de paix

Si vous recevez un compte de votre propriétaire, vous ne pouvez pas demander l’exemption. Ce compte n’est pas un vrai compte de taxes envoyé par la municipalité.

C’est souvent une condition du bail commercial que vous avez signé. La Commission ne peut pas vous exempter d’une condition prévue dans votre bail.

Un immeuble dont le propriétaire est l’État, le gouvernement du Canada, une institution religieuse, une municipalité, une commission scolaire, un collège, une université, un hôpital, un CLSC ou un autre établissement public est automatiquement exempté du paiement des taxes par la Loi sur la fiscalité municipale (article 204 de la LFM). Cependant si cet immeuble est occupé par un OBNL, l'immeuble redevient imposable et il est inscrit au nom de l’OBNL au rôle d’évaluation foncière de la municipalité. L'OBNL doit payer les taxes directement à la municipalité, comme s’il était propriétaire de l’immeuble. L’OBNL doit inscrire la date de son dernier bail. S’il n’y a pas de bail, l’OBNL doit inscrire la date où il a emménagé dans l’immeuble.

Vous devez être un organisme à but non lucratif (OBNL) pour demander une exemption de taxes à la Commission. L’OBNL est créé en application d’une loi. Il a sa propre existence en tant qu’organisme. Un individu ne peut pas demander d’exemption de taxes à la Commission.

Les statuts constitutifs (lettres patentes ou autres) prouvent que l’OBNL a son existence propre. Ils prouvent aussi le but non lucratif. L’OBNL ne doit pas permettre aux membres de faire des profits (remise en argent, ristourne, avantage financier, gain en capital, etc.).

Le NEQ (numéro d’enregistrement au Registre des entreprises prouve que l’OBNL existe présentement. Un OBNL dont l'immatriculation est radiée au Registre des entreprises du Québec ne peut pas demander d'exemption de taxes.

Vous pouvez consulter gratuitement le Registre des entreprises du Québec pour vérifier l’existence de l’OBNL et la loi qui a permis sa création.

Une personne habile à voter est une personne majeure, de citoyenneté canadienne, qui n'est pas en curatelle, qui n'est pas frappée d'aucune incapacité de voter et qui remplit une des deux conditions suivantes :

- Est domiciliée sur le territoire de la municipalité depuis au moins six mois

ou

- Est depuis au moins 12 mois propriétaire d'un immeuble ou l'occupant d'un établissement d'entreprise situé sur le territoire de la municipalité

Un organisme à but non lucratif qui est titulaire d'un droit de propriété. Le propriétaire possède un document (généralement un acte de vente) qui constate la propriété de l'immeuble.

Ces documents prouvent que l’organisme est constitué en personne morale à but non lucratif. Les statuts constitutifs sont différents selon la loi qui régit l’organisme :

Les organismes à but non lucratif sont souvent constitués par lettres patentes sous la Partie III de la Loi sur les compagnies du Québec ou par certificat sous la Loi canadienne sur les organismes à but non lucratif.

Les coopératives sont constituées par des statuts de coopérative en vertu de la Loi sur les coopératives.

D'autres organismes sont constitués en vertu d'une loi privée, par exemple les Chevaliers de Colomb et la Société Saint-Vincent-de-Paul. Ces organismes ont un certificat attestant leur constitution.

Documents égarés ou détruits

Vous pouvez généralement en obtenir un exemplaire en vous adressant à l'autorité qui vous les a délivrés. Il s'agit dans la plupart des cas du Registre des entreprises du Québec.

Activité en continu qui permet d’être vigilant quant à l'utilisation des crédits disponibles. Cette activité est réalisée durant tout le cycle budgétaire et s'appuie sur l’existence de mécanismes d’analyse et de reddition de comptes.

Taxe imposée par une municipalité aux établissements d’entreprise. Le compte de taxes envoyé par un propriétaire au locataire qui doit assumer les taxes municipales en raison d’un bail commercial n’est pas une taxe d’affaires.

Taxes imposées par une municipalité à la personne au nom de qui l’unité d’évaluation est inscrite au rôle d’évaluation foncière.

Les taxes foncières et la taxe d’affaires sont des taxes municipales.